Il soumettait avant publication ses éditos – initulés « Ce que je crois » – à un petit cercle de journalistes et n'hésitait pas à intégrer leurs avis, critiques et corrections.
Qui sont-ils?
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Zac
Uba uroga Minyoruko, ( ce que tu écris ci-dessus n'est pas TOUT ce que tu crois, je crois!) et merci d'attirer mon attention sur ce que BBY a éecrit sur ce qu'il croyait (
Ce que je crois – Jeune Afrique ) la galaxie muntu a plus d'une nébuleuse dans le filmanent, iyo jeune à fric yasoheye numero spécial muli Juillet 1990, sous la plume (le clavier ou la direction ) Marie-Roger Biloa, et ce n'était pas en l'honneur de Paul Biya (déjà à la tête de leur Cameroun commun) je suppose que BBY y avait ses entrées, comme à Yamousoukro et autres sites presidentiels africains fameux.
Ce numero spécial je l'ai lu à Kigali, (et relu dans la librairie du NYU dans laquelle je passait mes journée New Yorkaises de 1991 à 1992)c'était donc avant l'invasion de la nébuleuse .... et la visite du futur SAINT pape!, et pourtant entre ces deux événements un voisin qui n'avait pas cure des barrières éthniques fut le premier à me mettre la puce à l'oreille à propos du 1er Octobre, il m'a dit : en récitant les prières de mon père (Ndacyayisenga, Nsengiyumva, Nsengiyaremye) agira ati: MWARUTEGETSE IMYAKA 400, TWE MULI 30 TWARARUVUYANZE, MWATURETSE TUKIYONGEZAHO UTUNDI TWAKA DUKE? moi qui avait quitté le Rwanda 20 plutot, et y revenais avec femme et enfants poursuivre ce que les Salesiens de l'ETO m'avait enseigné, j'allais de surprises en surprises, au départ de Bruxelles, mon ancien professeur à l'ETO et ambassadeur du Rwanda au plat pays, m'est témoins que mon compagnon de dégustation de la sainte mousse était plus proche de la réalité Rwandaise que la Camerounaise Marie-Roger Biloa, ne me dis pas les rivalités tribales africaines ont fait leurs beaux jours dans les bureaux je J.A., je crois que en 1990 BBY était encore à la tête de son hébdo, c'est donc probablement lui qui a autorisé Marie-Roger Biloa à écrire son numero spécial.
Fast forward, en 2021 c'est ABY et MBY non BBY qui sont (point de débarras donc puisque le pionier a écrit son histoire et sa postérité) à la tête de Jeune à fric, si Covid n'y avait pas mis son petit virus, je crois que le fils aurait donné au père des funérailles identiques à ceux de beau nombre de chefs d'états africains (ses pairs et contemporains)., ton Bon Debarras n'a de sens que dans ton entendement, que, je n'en doute pas les R.M.G vont ajouter à leur tableau de doléances à ton endroit, l'homme qui dit Bon Debarras! au passage d'un corbillard a plutot la rancune tenace!
Si tu avais soupoudré ton posting j'aurai cru lire Lyarahoze, quoi que la cohérence épistolaire m'aurait vite montré les épines en dessous des roses dans le pot de ces derniers, pour un apprenti astronome les IBIMANUKA seraient plus proches des Marsiens que des angés déchus, IDAMANGE et ses paires brandisseuses de bibles ont du pain sur la planche, crois moi, je m'incline devant BBY car c'est grace à son journal et non du "Comment Isangrin a perdu sa queue" de mes cours de français à l'ETO que je peus écrire avec plus ou moins de cohérence et de lisibilité.
Ce qui nous hante ne dit pas nécessairement ce que nous sommes, (l'ami Lyarahoze lui n'est pas hanté, il est ce qu'il ecrit, car s'il était vraiment ce qu'il écrit, ce n'est pas uniquement Maurice Grevisse qui aurait la berlue!).
Je le répète encore, sans savoir comment le Brevet d'Etat Major est conduit, je tendrai à croire qu'ils devrait inclure des "pousseurs de butons" du genre L.K. pour tester les candidats et lauréats à ce brevet, on a reproché à des hutu d'etre l'estomac à la place du cerveau (et ce sont généralement d'autres hutu qui tiennent ce resonement) il n'a jamais été dit que ces penseurs du ventre étaient sous-éduqués (quand les inkandagirabitabo dament le pion aux BEMs) si la fourberie tutsi est si efficace, pourquoi ne fait-elle partie du coursus des Brevets d'état major si tant et que l'art de la guerre consistait à savoir que quand on l'a perdu, la le breveté a toujours sa dignité comme soutien, Lyarahoze a l'excuse de l'incohérence, qui n'est pas l'attribut d'aucun groupe humain, mais plutot un attribut individuel dans chaque groupe humain INDISTINCTEMENT, les "soul comme un polonais", "fort (ou fumeur) comme un turc" sont des clichés plutot racistes, le "hutu de service" le serait aussi, s'il n'était proféré par .... des hutus (l'autocritique a plusieurs formulations, mais pas celle-ci), et que de plus ce service soit rendu ....à la nébuleuse!
Moi je m'incline devant BBY car lui est Georges Collinet (un autre Franco-Camerounais!) de VOA ont fait plus que m'enseigner le français, à J.A et VOA j'ajouterai Afrique-Asie de Simon Malley (un autre africain comme son nom ne le dit pas!) qui malheureusement a succomé à son intransigence!)
