Objet : Re: [Rwanda Forum] Fw: [CPL & CD] ANNIVERSAIRE DE L'INDEPENDANCE DU RWANDA : LES FDU-INKINGI TRANSMETTENT LEURS CHALEUREUSES FELICITATIONS AU PEUPLE RWANDAIS.
Rugura
Bonnes Fêtes des Indépendances ( 01/7, Canada- Rwanda) et de kwibohora( Rwanda 04/7) et de la Paix et l'Unité Nationale ( un certain Rwanda 05/7 ).
En ce qui concerne l'Indépendance du Rwanda obtenue le 01 luillet 1962, une petite nuance: Aba Parmehutu na Aprosoma nabo basabaga Independance nka LUNARI, aho batahurizaga n'uko iyo Independance bose bashakaga ariko Aba Parmehutu bagasaba na Demokarasi, uko byabageraho ( ordre d'arrivée) mu yandi magambo ari Independance ari Demokarasi icyagombaga kuza mbere y'ikindi ni ikihe?
Ndibuka muli 1961 ( nari mfite imyaka 6), abarwanashyaka ba Parmehutu b'iwacu bibukiranya basubiramo ( répétition) y'ibyo bigishijwe uko bazakira abo muli Commission ya Loni yagombaga kunyura muli ako karere, igihe bazaba bari ku mihanda iyo Commission izanyuramo, ko bagombaga kurangurura amajwi bavuga kandi basubiramo ngo: "Demokarasi y'aboro, Demokarasi y'aboro, etc..." Abana twahise dufata iyo slogan gutyo. Nyuma tumaze guca akenge ( Kamarampaka yarabaye, ndetse na Independance yaragezweho...) hari umwalimu twabajije tuti: " Demokarasi y'aboro imera ite?" Ati: mwabikuye he? Tumubwira ko ariko abarwanashyaka bagombaga kwakira Commission ya Loni bavuga. Araseka cyane ati: Oya, bababwiye kuvuga kandi banafite ibyapa byanditseho" Démocracie d'abord!"
Ngayo, nguko!
Bon WE
Le vendredi 2 juillet 2021, 23:19:27 UTC+1, 'Vincent Ndacyayisenga' via Rwanda Forum <rwandaforum@googlegroups.com> a écrit :
Nibagiwe ko utambwiye uko ncisha ubutuma ku ntumwa zawe, iyo sindi ugira benshi!!!
mailer-daemon@yahoo.com
To:rugura@yahoo.com
Fri., Jul. 2 at 6:06 p.m.
Sorry, we were unable to deliver your message to the following address.
Je sais que tu as un parti pris, je ne peus imaginer que tu as pris celui de l'aliénation, je ne pense pas que c'est le FPR qui a fait foirer celui de l'émancipation (umuhinzi udasubira inyuma ngo abibe asarura iki?, uti haliababiba urwngo! abo no mu mushike bararubiba!).
----- Forwarded Message -----
From: Vincent Ndacyayisenga <rugura@yahoo.com>
To: Democracy_human_rights <democracy_human_rights@yahoogroupes.fr>; Group Ibukabose <ibukabose_rengerabose@yahoogroupes.fr>; Fonda Banya <fondationbanyarwanda@yahoogroupes.fr>; Joseph Matata <cliir2004@yahoo.fr>; Christophe Tuvugishukuri <psj_survivors@yahoo.com>; CORWABEL ASBL <corwabel@gmail.com>; Jambo <jamboasbl@gmail.com>; Michel Niyibizi <niyimike@yahoo.fr>
Sent: Friday, July 2, 2021, 06:06:26 p.m. EDT
Subject: Re: [CPL & CD] ANNIVERSAIRE DE L'INDEPENDANCE DU RWANDA : LES FDU-INKINGI TRANSMETTENT LEURS CHALEUREUSES FELICITATIONS AU PEUPLE RWANDAIS.
Democracy_human_rights
ibukabose_rengerabose@yahoogroupes
fondationbanyarwanda@yahoogroupes.f
cliir2004@yahoo.fr
psj_survivors@yahoo.com
corwabel@gmail.com
jamboasbl@gmail.com
niyimike@yahoo.fr
CPL & CD- Twese Hamwe Tuzatsinda
Après 59 ans d'indépendance, il est triste de constater que les destinées du Rwanda sont aux mains d'une oligarchie du FPR qui ne pense qu'à elle-même et à ses sponsors, le citoyen étant marginalisé, exclu du processus de décisions, empêché de faire la compétition pour accéder aux postes de gestion politique et socio-économique.
La bonne arthimetique me dit que le FPR n'est au pouvoir que depuis 27 ans que s'est-il passé durant les 32 ans avant qu'il y arrive? evidement ce n'est pas toit qui vas me repondre, ceux à qui tu as envoyé ou fait passé ce message (Yahoo me dit que je ne peus pas les atteindre!).
59 ans? j'en avais 12, et toi?ejobundi padiri Rudakemwa yamamaza igitabo cye (na Bakidihe) yahamagariyeabana b'impirimbanyi kwusa ikivi cyazo, uzusa icya Makuza ? icya Mpamo? (la différence est dans le "copyright" (Bernard atazagusiganya!).
Harya Px il sur le pont (ou le site ou le pont est supposé être construit? ou comme pierre c'est sur lui qu'il sera construit? depuis que le ridicule est devenu mon compagnon de route, il ne tue plus, l'amour-propre s'entend! (aliko niba inyota y'ubutegetsi ali kimwe n'iy'ibinyobwa, le ridicule n'a pas besoin d'être impliqué dans cette execution.
Alikose ko Yezu yavuze ngo ibya Kayizari bimusubizwe, iby'Imana biyisubizwe, Lunari ikaba aliyo yisabiye iyo independance, Padiri Rudakemwa azabongera kubagoreka amateka (ko Lunari yakozweho n'amatora yisabiye, abayatsinze batarayasabye se bo ntiyaba yarabakozeho? ..... Reka nkomeze nibaze na nisubize (ninumva bibaye ngombwa!).
Wumvise ikiganiro cya Ambassadeur(akaba na mwalimu wanjye) I. Munyeshyaka na J.C. Mulindahabi, se yagize ati, nta nka nzatunga ntazava aho nzihakirwamo, ça c'est l'indépendance, wambwira uko izo ububiligi bwagabiye Parmehutu byazigendekeye? ntabwo zabaye nka zazindi zaherekeje Rutenderi?
Yewe, reka ndekere aha ntakereza les nouveaux cantoniers, bien qu'en politique l'eau n'a pas bespoin de passer sous les ponts (surtout si les batisseurs de ces ponts ne peuvent passur quelles berges ils vont être construits (le pont sur une berge s'appelle une .... grue (notez qu'il y a des persones qui passent aussi pour grues (s'abanyiginya!)
On Friday, July 2, 2021, 02:58:50 a.m. EDT, Michel Niyibizi <niyimike@yahoo.fr> wrote:
COMMUNIQUE DE PRESSE
ANNIVERSAIRE DE L'INDEPENDANCE DU RWANDA : LES FDU-INKINGI TRANSMETTENT LEURS CHALEUREUSES FELICITATIONS AU PEUPLE RWANDAIS.
Le parti FDU-Inkingi a la grande joie de transmettre au peuple rwandais ses chaleureuses félicitations à l'occasion de la commémoration du 59ième anniversaire de l'indépendance politique du Rwanda. Il offre au peuple rwandais une opportunité non seulement pour célébrer cet évènement très important dans l'histoire de notre pays, mais aussi et surtout d'explorer les voies et moyens de mettre fin à une nouvelle colonisation de rwandais par d'autres rwandais.
En effet en demandant et en obtenant l'indépendance le 1er juillet 1962, le peuple rwandais avait l'ambition de la Liberté, de l'autodétermination et de la prise en main de ses destinées. Aujourd'hui, cette indépendance reste une réalité de façade qui ne se traduit pas dans la vie quotidienne des citoyens.
Effectivement, le Rwanda étant reconnu internationalement comme un pays autonome et indépendant, cette indépendance devait se concrétiser dans les faits par la jouissance pleine et entière des droits civils et civiques. Or, à l'heure actuelle, force est de constater que ces droits et libertés ont été confisqués par un groupuscule au pouvoir, groupuscule agissant non pas dans l'intérêt du peuple, mais plutôt dans son propre profit et au profit des intérêts étrangers. Ainsi, un néo-colonialisme qui ne dit pas son nom s'est mis en place à travers un groupuscule de citoyens nationaux dont le pouvoir est soutenu, conseillé et orienté par des groupes d'intérêts extérieurs.
De même, l'armée du régime est envoyée dans des missions d'expéditions de pillages et d'insécurisation des pays africains et pour servir des intérêts politiques extérieurs inavoués.
Le parti politique FDU-Inkingi considère que la priorité d'un gouvernement dans un pays indépendant est de :
Travailler pour le bien-être de ses citoyens et non pour satisfaire les intérêts étrangers ;
Ecouter d'abord les doléances des citoyens avant de s'entourer d'une équipe de conseillers étrangers ;
Travailler pour investir dans le pays au lieu de piller les ressources financières nationales vers les paradis fiscaux ou d'investir à l'étranger ;
Conserver et entretenir l'outil de production national aux mains des nationaux au lieu de le vendre aux investisseurs extérieurs ;
Développer une qualité d'enseignement et de formation dans le pays plutôt que de favoriser la formation à l'étranger d'une élite sélective ;
Assurer l'égalité des chances pour tous au lieu de prendre une partie de la population comme des citoyens de seconde zone ;
Assurer que les forces de sécurité soient effectivement les garants de la sécurité et de la tranquillité publique au lieu de devenir des sources d'insécurité, de traumatisme et de deuil.
C'est à ces priorités que le parti politique FDU-Inkingi invite le régime du FPR et le président PaulKagame afin de construire et renforcer l'indépendance nationale.
Après 59 ans d'indépendance, il est triste de constater que les destinées du Rwanda sont aux mains d'une oligarchie du FPR qui ne pense qu'à elle-même et à ses sponsors, le citoyen étant marginalisé, exclu du processus de décisions, empêché de faire la compétition pour accéder aux postes de gestion politique et socio-économique.
En effet, toute tentative de dénoncer les violences policières, la violation des libertés civiles et civiques au Rwanda est sanctionnée par une campagne de haine, d'intimidation, l'emprisonnement, la torture, l'assassinat ou la disparition forcée. Comment dans ces conditions le peuple peut-il jouir de son indépendance chèrement acquise par les leaders de l'époque ?
Le parti politique FDU-Inkingi exhorte les rwandais de l'intérieur et de l'étranger à se mobiliser pour un sursaut national permettant de travailler ensemble à un changement politique visant à mettre le citoyen au centre des décisions gouvernementales.
C'est en conjuguant nos efforts que nous avancerons ensemble vers cet objectif pour un mieux-être de tout un chacun. C'est à cette condition que l'indépendance nationale prendra concrètement sa véritable signification dans la vie des Rwandais. Une indépendance sans liberté d'expression ni d'action reste un emprisonnement.
Le peuple rwandais pris en otage par la dictature du FPR doit mener son combat légitime de se libérer. Le parti politique FDU-Inkingi reste à l'avant-garde de ce combat.
Vive le Peuple rwandais,
Vive l'indépendance du Rwanda,
Fait à Londres, le 1er juillet 2021.
Justin Bahunga
Président, FDU-Inkingi
Contacts : president@fdu-rwanda.com
Phone: +44-7988-883-576
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Raw materials are crucial to Europe's economy. They form a strong industrial base, producing a broad range of goods and applications used in everyday life and modern technologies. Reliable and unhindered access to certain raw materials is a growing concern within the EU and across the globe. To address this challenge, the European Commission has created a list of critical raw materials (CRMs) for the EU, which is subject to a regular review and update. CRMs combine raw materials of high importance to the EU economy and of high risk associated with their supply.
Link to industry - non-energy raw materials are linked to all industries across all supply chain stages
Modern technology - technological progress and quality of life rely on access to a growing number of raw materials. For example, a smartphone might contain up to 50 different kinds of metals, all of which contribute to its small size, light weight and functionality.
Environment – raw materials are closely linked to clean technologies. They are irreplaceable in solar panels, wind turbines, electric vehicles, and energy-efficient lighting.
What the Commission does
First list of CRMs – in 2011, a list of 14 CRMs was published in the communication on raw materials. The list of CRMs was established as a priority action of the EU 'raw materials initiative' of 2008. The Commission is committed to updating the list at least every 3 years to reflect production, market and technological developments.
Methodology on CRMs – in July 2017, the Commission published a revised methodology for establishing the EU list of critical raw materials. The synthesised guidelines build on the methodology used for the lists of CRMs in 2011 and 2014. They also integrate the methodological improvements identified by the Commission in the project 'assessment of the methodology on the list of critical raw materials', in areas such as manufacturing applications, trade, substitution, recycling. The 2020 assessment follows the same methodology as in 2017. Additional information regarding the methodology can be found in the background report (PDF, 7 MB)published in September 2020.
Report on CRMs and the circular economy– in January 2018, the Commission published a report highlighting the potential for a more circular usage of CRMs in our economy. Reviewing important sectors for CRMs, it describes relevant EU policies, refers to key initiatives, presents and gives sources of data, identifies good practices and indicates possible further actions.
JRC science for policy report: 'Recovery of critical and other raw materials from mining waste and landfills - state of play on existing practices' – in May 2019, the Commission issued a report. It shows existing practices to recover critical and other raw materials from extractive waste and landfill. The report outlines technological processes for the recovery of different materials from mining tailings and industrial waste as well as best practices for improving the knowledge base on the availability of secondary materials. Furthermore, it provides potential recovery estimates of certain materials and outlines prerequisites for recovery practices on a larger scale than today.
Report on raw materials for strategic technologies and sectors – in September 2020, the Commission presented this foresight report. Specifically, it estimates material needs for growing technologies such as clean energy technologies (photovoltaic, wind, storage), electric mobility and digital technologies (ICT, robotics, 3D printing) based on the EU's 2050 climate-neutrality scenarios and other forecasts. It provides an outlook to 2030 and 2050 of material demand for these sectors and identifies supply risks and bottlenecks at different levels of the supply chains.
European Raw Materials Alliance – The 2020 Communication on Critical Raw Materials announces the launch of an industrial alliance dedicated to securing a sustainable supply of raw materials in Europe. By bringing together all relevant stakeholders along strategic value chains and industrial ecosystems, the alliance will initially focus on the most pressing needs, namely to increase EU resilience in the rare earth elements and permanent magnet value chains. This is vital to key EU industrial ecosystems, such as automotive, renewable energy, defence and aerospace. Later, the alliance will expand to address other critical raw material and base metal needs, including projects supporting the circular economy and addressing the EU Green Deal. There will be an industry-driven process led by EIT RawMaterials, whose task will be to identify opportunities, barriers and create relevant investment cases with stakeholders and industry partners. EIT RawMaterials will publish details of how to join the alliance.
increase awareness of potential raw material supply risks and related opportunities among EU countries, companies and investors
negotiate trade agreements, challenge trade distortion measures, develop research and innovation actions and implement the 2030 'agenda on sustainable development and its sustainable development goals'
The methodology to identify CRMs
The Commission carries out a criticality assessment at EU level on a wide range of non-energy and non-agricultural raw materials. The 2020 criticality assessment was carried out for 66 candidate materials (63 individual materials and 3 material groups: heavy rare earth elements, light rare earth elements, platinum group metals, amounting to 83 materials in total). In 2011, 41 materials were assessed, 54 materials were assessed in 2014, and 78 in 2017.
The main parameters used to determine the criticality of the material for the EU are
Economic importance - aims at providing insight into the importance of a material for the EU economy in terms of end-use applications and the value added (VA) of corresponding EU manufacturing sectors at the NACE rev.2 (2-digit level). The economic importance is corrected by the substitution index (SIEI) related to technical and cost performance of the substitutes for individual applications.
Supply risk - reflects the risk of a disruption in the EU supply of the material. It is based on the concentration of primary supply from raw materials producing countries, considering their governance performance and trade aspects. Depending on the EU import reliance (IR), proportionally the 2 sets of the producing countries are taken into account — the global suppliers and the countries from which the EU is sourcing the raw materials. SR is measured at the 'bottleneck' stage of the material (extraction or processing), which presents the highest supply risk for the EU. Substitution and recycling are considered risk-reducing measures.
Fourth list of critical raw materials for the EU of 2020
The 2020 EU list contains 30 materials as compared to 14 materials in 2011, 20 materials in 2014 and 27 materials in 2017. 26 materials stay on the list. Bauxite, lithium, titanium and strontium are added to the list for the first time. Helium remains a concern as far as supply concentration is concerned, but disappears from the 2020 critical list due to a decline in its economic importance. The Commission will continue to monitor helium closely, in view of its relevance for a range of emerging digital applications. It will also monitor nickel, in view of developments relating to growth in demand for battery storage.
2020 critical raw materials (new as compared to 2017 in bold)
Antimony
Hafnium
Phosphorus
Baryte
Heavy Rare Earth Elements
Scandium
Beryllium
Light Rare Earth Elements
Silicon metal
Bismuth
Indium
Tantalum
Borate
Magnesium
Tungsten
Cobalt
Natural graphite
Vanadium
Coking coal
Natural rubber
Bauxite
Fluorspar
Niobium
Lithium
Gallium
Platinum Group Metals
Titanium
Germanium
Phosphate rock
Strontium
Main global and domestic producers of CRMs
The EU's industry and economy are reliant on international markets to provide access to many important raw materials since they are produced and supplied by third countries. Although the domestic production of certain critical raw materials exists in the EU, notably hafnium, in most cases the EU is dependent on imports from non-EU countries.
The supply of many critical raw materials is highly concentrated. For example, China provides 98 % of the EU's supply of rare earth elements (REE), Turkey provides 98% of the EU's supply of borate, and South Africa provides 71% of the EU's needs for platinum and an even higher share of the platinum group metals iridium, rhodium, and ruthenium. The EU relies on single EU companies for its supply of hafnium and strontium.
The risks associated with the concentration of production are in many cases compounded by low substitution and low recycling rates.
Countries accounting for largest share of EU supply of CRMs
Lithium, nickel, silicium ou la nouvelle ruée vers l'or... Et l'Europe, hyper dépendante de la Chine, ne veut pas la rater
Myriam Baele
Le proverbe "l'argent est le nerf de la guerre" pourrait être étendu au lithium. Ou au silicium. Ou au tantale, au cobalt, au nickel : il y a l'embarras du choix dans la liste des 30 "matières premières critiques" que la Commission européenne a publiée en septembre.
Elle recense 30 matériaux, des métaux surtout, qui pourraient manquer ou qui manquent déjà pour atteindre les ambitions de l'Union européenne. L'Europe veut arriver à la neutralité carbone pour 2050, dans le cadre de son "Green Deal": ceci implique de produire à marche forcée des éoliennes, des batteries, des panneaux solaires.
Elle veut aussi que son industrie et ses citoyens prennent le virage numérique : cela signifie disposer massivement de certains métaux qui entrent dans la composition de nos téléphones, ordinateurs portables et écrans plats.
La demande pour ces matières premières explose, dans le monde. Le nouvel or, ou le nouvel or noir, s'appelle cobalt ou coltan.
La gourmandise des voitures électriques
Prenons un exemple : une voiture électrique. Faisons-en le tour, comme au contrôle technique.
Un spécialiste examine la voiture avec nous : Patrick Hendrick, professeur d'Aéro-Thermo-Mécanique à l'Université Libre de Bruxelles. Il nous indique, sur ce seul modèle, dix matières premières jugées critiques par la Commission européenne.
D'abord, sous la voiture : nichées sous les sièges, les batteries comportent du lithium et, dans leurs électrodes souvent du nickel, du cobalt et du graphite.
Sous le capot, un moteur électrique. "Comme 85% des moteurs de voitures électriques aujourd'hui, il présente des aimants permanents à 'terres rares'. Dans un moteur de ce type, il y a entre 500 grammes et un kilo de terres rares", explique Patrick Hendrick.
Sous le capot toujours, les câblages contiennent du cuivre, trois à quatre fois plus que dans une voiture à essence ou diesel. Le cuivre ne figure pas sur la liste des "matières premières critiques" de la Commission européenne mais pourrait y apparaître, vu son usage soudainement étendu.
Ouvrons la portière. L'acier de la carrosserie peut être mêlé de niobium : un métal qui permet de perdre quelques kilos, d'alléger la carcasse de ces véhicules alourdis par leurs batteries.
Et puis installons-nous au volant. L'écran plat de l'ordinateur de bord comporte de l'indium, ses composants électroniques emploient du silicium, du tantale (extrait du coltan, tiré des sols de la région des grands lacs). L'Europe peut connaître des problèmes d'approvisionnements de ces matériaux-là à l'état brut, mais aussi sous forme de composants électroniques, de puces. C'est d'ores et déjà le cas : plusieurs usines automobiles européennes ont été contraintes d'interrompre leurs chaînes de montage ces dernières semaines faute d'approvisionnement en semi-conducteurs, importés d'Asie.
L'explosion des demandes
Ces matériaux, explique Patrick Hendrick, étaient absents ou faiblement présents dans les véhicules à moteurs à combustion.
"Dans les voitures 'classiques', on avait déjà la présence de nickel, par exemple, dans la batterie. Mais le problème est devenu cent fois plus grave aujourd'hui, puisqu'il y a cent fois plus de matière au niveau de la batterie que ce n'était le cas auparavant". Et ces quantités sont à multiplier par le nombre croissant de voitures électriques produites annuellement, "plusieurs dizaines de millions".
Ce n'est qu'un exemple. Les besoins de ces mêmes matières premières grandissent pour d'autres produits qui ont le vent en poupe : certaines éoliennes, des panneaux solaires, nos multiples appareils électroniques et écrans plats.
La Commission estime qu'il faudra, pour la seule Union européenne, 60 fois plus de lithium en 2050 qu'aujourd'hui et 15 fois plus de cobalt, 10 fois plus de terres rares. La grande ruée vers les matières premières critiques a commencé.
Des ressources inégalement localisées, exploitées et distribuées
Y aura-t-il assez de ces matières premières pour rencontrer cette demande mondiale ? Et qui y aura accès ?
Guillaume Pitron est immergé dans ces questions depuis des années. Il est journaliste, auteur du livre "La guerre des métaux rares, la face cachée de la transition énergétique et numérique".
"Ces métaux ne sont pas sujets à un risque de pénurie au sens géologique du terme, les ressources étant considérables", explique Guillaume Pitron. "En revanche, la Commission les considère comme 'critiques' parce que leur production est concentrée dans quelques pays producteurs. Et cela implique un risque de pénurie d'approvisionnement pour des raisons géopolitiques si ces pays producteurs cessent de nous vendre et d'exporter les métaux dont nous avons besoin."
En tête de ces pays incontournables, la Chine.
Selon la Commission, 98% de nos importations de terres rares proviennent de Chine, qui s'est imposée à la fois comme l'un des Etats de production, mais aussi de traitement, transformation et vente de ces métaux. Elle s'est rendue incontournable également pour acheter du nickel ou du cobalt.
"La dépendance des pays de l'Union européenne à l'égard de la Chine est absolument colossale. La Chine nous tient dans le creux de sa main", commente le journaliste spécialisé. "L'Europe consomme 25% des matières premières dans le monde, mais elle n'en produit que 3%. Donc, ce différentiel, il faut bien qu'elle aille le chercher quelque part : elle va le chercher surtout auprès de la chine pour ses matières premières critiques, à commencer par les terres rares."
La géopolitique des matières premières
L'Europe dépend donc aujourd'hui fortement de pays tiers, dont la Chine, pour concrétiser les politiques "verte" et "numérique" qui fondent tout son programme de législature.
Sans surprise, cette dépendance influence les relations diplomatiques. Condamne-t-on avec fermeté l'Etat chinois pour le traitement des minorités ouïgoures quand les usines européennes dépendent de ses livraisons de matières brutes ou transformées ?
C'est toute une nouvelle géopolitique qui s'affirme.
"C'est une géopolitique des matières premières qui va s'additionner à la géopolitique du pétrole", commente Guillaume Pitron, "parce qu'il va bien falloir aller chercher quelque part ces matières dont la demande explose. Il est souhaitable d'aller vers un monde 'vert' mais ce sera aussi très compliqué : les pays vont se livrer à une compétition sans merci pour pouvoir sécuriser ces approvisionnements toujours plus stratégiques".
La Commission européenne se met visiblement en ordre de bataille. Elle a lancé un "plan d'action pour les matières premières critiques", officiellement pour peser plus lourd à 27 dans ces rapports de force. Vraisemblablement aussi pour éviter une foire d'empoigne au sein même de l'Union, où des Etats membres s'approvisionneraient au détriment de leurs voisins.
Une stratégie européenne pour ne pas être en rade
La Commission européenne a ainsi lancé une "alliance" publique/privée pour chercher des solutions en dialogue avec les industriels, des ONGs, des universités. Elle soutient aussi les filières de recyclage, quand c'est techniquement possible, comme le recyclage des batteries.
Elle encourage également les Etats membres, par exemple avec l'argent du plan de relance post-Covid, à ouvrir des mines pour extraire ces métaux s'ils sont présents dans leurs sols.
Et elle noue de nouveaux partenariats hors Union, pour élargir le panel de pays producteurs, diversifier ses sources. Au moment de négocier ces partenariats-là, la Commission veut fixer des normes sociales et environnementales aux mines et usines qui approvisionnent l'Europe, puisque l'extraction de ces minerais est accompagnée de conditions de travail indignes, de conflits et de pollutions dans certains Etats.
Cette diplomatie des matériaux est incontournable parce qu'une grande partie de ces matières premières continuera à venir de l'extérieur de l'Union. L'Europe possède, il est vrai, certaines de ces matières critiques dans ses sols et la Commission encourage les Etats membres à entamer des extractions, mais les Européens rechignent à retourner à la mine.
No mining in my backyard
Le journaliste Guillaume Pitron pointe ce paradoxe : "Nous, pays occidentaux, ne voulons pas forcément assumer le 'fardeau minier' et nous laissons d'autres pays en assurer la production. Je parle de 'fardeau minier' en ce sens qu'une mine, c'est toujours sale : extraire du minerai et le raffiner a un coût environnemental qui nous apparaît insupportable à nous, Européens du 21e siècle, qui sommes toujours plus exigeants en termes de qualité de vie. Donc… Nous voulons un monde plus vert, mais ne voulons pas avoir chez nous la pollution associée au vert."
Et il poursuit : "Nous sommes devant une contradiction complète entre nos rêves d'un monde plus propre et la réalité selon laquelle il va falloir creuser toujours plus profondément."
Je ne pense pas que nous sortirons à court terme de cette contradiction, pour ne pas dire cette hypocrisie, qui mène à laisser les pauvres extraire ces ressources à notre place
Un exemple récent au Portugal illustre ces propos. Un projet de mine de lithium dans le nord du pays, à Montalegre, y avait suscité la colère des paysans, l'an dernier. La consommation d'eau d'une telle mine pourrait compromettre leurs cultures. Aujourd'hui ce sont les agriculteurs du Chili, d'Argentine, de Bolivie qui pompent dans leurs sources et encaissent l'impact d'une bonne partie de l'activité minière liée au lithium.
La voiture propre, c'est celle qu'on ne fabrique pas
Cette contradiction européenne a incité 180 signataires, des ONG des deux hémisphères et des académiques, à publier en juin une déclaration contre la stratégie européenne sur les matières premières critiques. Myriam Douo résume, pour l'ONG environnementaliste "Friends of the Earth", signataire :
Nous voulons nous opposer à cette exploitation minière sans fin
Elle poursuit : "Nous remettons en question la promotion de la 'croissance verte' qui n'est pas la solution à l'urgence climatique. Le 'pacte vert' (le 'Green Deal'), et cette stratégie vont entraîner une augmentation dramatique de la consommation de matières premières et de minéraux." Et pour illustrer concrètement cette idée, Myriam Douo ajoute : "La voiture la plus propre, ce n'est pas une voiture électrique, mais c'est celle qu'on ne fabrique pas."
Les signataires de cette déclaration estiment que cette "stratégie européenne pour les matières premières" va faire des dégâts.
"L'activité minière est un contributeur important au changement climatique, à la perte de biodiversité, à la pollution de l'eau accompagnant souvent cette activité industrielle. Et le secteur minier est responsable de violation des droits humains, de conflits entre communautés, d'exploitation des travailleurs. Ces risques vont s'exacerber avec l'augmentation de la demande en matières premières et minéraux".
Mais l'Europe vise résolument ses deux caps, le vert et le numérique, avec une volonté renforcée par les ravages économiques de la pandémie. Et pour y arriver, elle mise sur cette stratégie. La Commission présente les technologies vertes et numériques comme les deux mamelles d'un renouveau industriel européen, le double filon qui doit renforcer l'Europe géopolitique et répondre à une double crise : celle du Covid… Et celle du climat.
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"Hate Cannot Drive Out Hate. Only Love Can Do That", Dr. Martin Luther King.
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