If you've had COVID-19, even a mild case, major congratulations to you as you've more than likely got long-term immunity, according to a team of researchers from Washington University School of Medicine. In fact, you're likely to be immune for life, as is the case with recovery from many infectious agents — once you've had the disease and recovered, you're immune, most likely for life.
The evidence is strong and promising, and should be welcome and comforting news to a public that has spent the last year, 2020, in a panic over SARS-CoV-2.
Increasingly evidence is showing that long-lasting immunity exists.
Jeannine est une femme forte. Je le sais parce qu'elle ne laisse rien transparaître du cauchemar qu'est sa vie. Elle préfère parler politique et rigoler ; les gens autour d'elle ne se doutent de rien !
Au fil des ans, il lui est quand même arrivé de me balancer des bribes de ses misères. Ces bribes sont comme les morceaux d'un puzzle qui a fini par prendre forme avec le temps. Un scénario digne d'un drame de fiction qu'elle préfère banaliser… comme pour moins sentir son supplice.
Jeannine a fui la guerre du Rwanda avec ses deux enfants vers le Cameroun, puis vers le Canada. Son mari est resté derrière à la première escale, emprisonné !
Vie de réfugiée
Il y avait d'abord les 10 années qu'elle a passé en stand-by comme réfugiée. Ce sont ses anecdotes qui m'ont fait comprendre ce qu'est vraiment la condition de réfugié.
Quand tu es réfugié, me disait-elle, à chaque coup à la porte, tu imagines que c'est la police qui vient t'emmener à l'aéroport pour t'expulser. Elle avait une valise toujours prête dans sa chambre. Sa hantise était d'être expulsée sans ses enfants. Elle avait des plans B pour toutes sortes de situations. Elle m'a avoué avoir même pensé donner ses enfants en adoption pour les sauver… et à plein d'autres scénarios qui accompagnaient ses cauchemars et meublaient ses insomnies !
Sa seule carte d'identité était un document « bleu ». Son étoile de David ; elle en avait si honte. Le document indiquait qu'elle n'a pas de statut au Canada et qu'elle est en voie d'expulsion. Statut qui lui fermait plein de portes pour les concours de ses enfants, pour les bons emplois…
La comptable d'expérience qui a étudié en Belgique avec un stage à HEC de Montréal s'est retrouvée à travailler dans les usines et à cueillir des légumes dans les champs pour survivre.
Il a fallu qu'elle apprenne à se battre comme réfugiée pour faire accepter ses enfants à l'école, car après l'âge de 16 ans, l'école n'est plus obligatoire. Elle se souvient d'un sit-in devant le ministère de l'Immigration rue Saint-Antoine, dans le Vieux-Montréal… Elle a revendiqué en criant le permis d'études pour son fils. Elle était prête à aller en prison pour ça… « Je ne veux quand même pas que mon fils devienne un bandit », avait-elle déclaré aux préposés, avant d'arracher le précieux document pour que son fils aille à l'école et ne rate aucun jour !
Comme Jeannine aime toujours terminer ses anecdotes avec des rires, elle m'a avoué que le jour où elle et ses enfants ont obtenu la résidence permanente, ils ont d'abord cru qu'il y'avait erreur, puis ils ont couru à grandes enjambées !
La fonceuse a parfaitement réussi son pari : sa fille de 28 ans est aujourd'hui médecin résidente, son fils est gestionnaire dans une grande entreprise québécoise. Jeannine, elle, est analyste à Téléfilm Canada.
Son mari
Légaliser son statut n'était cependant pas le seul défi de Jeannine. Elle traîne avec elle un autre boulet, bien plus lourd encore, depuis ses 23 ans d'immigration…
Au Rwanda, son mari, Jérôme Clément Bicamumpaka, membre de l'opposition, a été ministre des Affaires étrangères du gouvernement intérimaire à la suite des accords d'Arusha, qui visaient à mettre un terme à la guerre civile rwandaise.
Du fait qu'il a été au gouvernement, Jérôme a été arrêté au Cameroun par le Tribunal pénal international. Il a passé 12 ans en détention préventive dans l'attente d'un procès. En 2011, Jérôme a été innocenté des 30 chefs d'accusation qui pesaient sur lui. Il a été prouvé qu'il était à l'extérieur du pays quand les faits dont il était accusé se sont déroulés. Il était aux Nations unies, en France et en Belgique, pour chercher de l'aide internationale en vue d'arrêter cette guerre qui s'était transformée en génocide.
Douze années de calvaire pour sa famille, de torture morale indescriptible pour Jeannine et ses enfants. Douze ans de vie sans le père qui verra grandir ses enfants à travers des vidéos… Douze années où Jeannine a multiplié ses démarches auprès de ses avocats québécois qui ont réussi à faire innocenter son mari et qui deviendront sa famille québécoise. Comme le montre cette vidéo où elle passe son premier Noël chez son avocate, Francine Veilleux.
Une fois Jérôme acquitté, Jeannine et ses enfants croyaient qu'ils étaient au bout de leur calvaire. Et pourtant, les Nations unies ont mis Jérôme et les autres acquittés du Tribunal pénal international dans une résidence sécurisée à Arusha, en Tanzanie, en attendant de leur trouver des pays d'accueil.
Des hommes reconnus innocents, censés être libres, mais qui n'ont aucune protection juridique, aucune pièce d'identité, ni aucun droit, même celui de travailler, d'avoir un numéro de téléphone ou même de parler à des journalistes.
Au lieu que l'acquittement de Jérôme soit une libération, il est devenu un véritable imbroglio de la justice internationale. Jeannine a revêtu son uniforme de Don Quichotte pour se battre contre les moulins à vent de la langue de bois des Nations unies et des politiques canadiennes. Et ça fait 10 ans que ça dure !
Le cauchemar ne s'arrête pas là
Les Nations unies ont décidé de déplacer ces hommes au Niger… jusqu'au 22 décembre. Ils devront ensuite partir. Les Nations unies se dégagent alors de toute responsabilité : on vous loge pendant un an puis vous faites votre vie dans le pays le plus pauvre et le plus dangereux d'Afrique !
Jérôme est atteint d'un cancer et il a besoin de soins qu'il ne peut pas recevoir au Niger. À partir du 22 décembre, il sera dans l'illégalité et pourra être emprisonné ou expulsé au Rwanda, où il craint pour sa vie !
La santé de Jeannine n'est pas au top non plus. Après 23 ans de galère, ça se comprend. À notre dernière conversation, elle m'a appris qu'elle avait une insuffisance rénale et qu'elle devait bientôt avoir besoin d'une transplantation. Pour l'instant, elle préfère ignorer la chose, parce que même les reins défectueux de Jeannine peuvent attendre !
Elle veut aujourd'hui parler aux journalistes et rendre publique son histoire. Elle est même prête à écrire une lettre au père Noël. Si jamais le premier ministre Justin Trudeau se déguise en père Noël cette année, il trouvera la lettre de Jeannine… c'est maintenant le seul qui peut prendre une décision politique !
Differences Between a Secular and a Religious—Jewish or Christian—Upbringing
Commentary
Anyone who thinks about the current civil war in America comes to realize that it is, in large measure, a war between the religious and the anti-religious. The Left has contempt for evangelical Protestants, traditional Catholics, and Orthodox Jews for good reason: They represent everything the Left loathes; and while there are, of course, secular conservatives who fight the Left, the largest and most effective opposition comes from conservative Christians and Jews.
The differences begin in childhood. Most religious kids—especially those who attend traditional Christian and Jewish schools—are raised with different values than most secular kids.
Here are some examples:
No. 1: Religious upbringing: Fight yourself. Secular upbringing: Fight society.
I studied in yeshiva (Orthodox Jewish school, where half the day I studied Bible and other religious subjects in Hebrew, and half the day I studied secular subjects in English) from kindergarten to 12th grade. I learned early on that the biggest problem in Dennis Prager's life was Dennis Prager. In nearly all secular schools and in liberal religious schools, kids learn that the biggest problem in their lives is American society—in fact, everything other than themselves.
Which do you think produces a more self-critical, more self-controlled, and overall better human being?
MOST READ
Which do you think produces an angrier and less happy human being?
No. 2: Religious Upbringing: Learn wisdom. Secular Upbringing: No body of wisdom conveyed.
I have no doubt that most kids raised with the Bible and other Jewish or Christian works have more wisdom than almost any secular professor or other secular intellectual. Yes, there are secular individuals who have wisdom (the Judeo-Christian body of wisdom sometimes continues to have influence for a generation or two), but I cannot think of a single secular institution with wisdom. That is why the institutions with the least wisdom and that believe and teach the most nonsense are universities—they are, after all, the most secular institutions in our society.
No. 3: Religious Upbringing: People are not basically good. Secular Upbringing: People are basically good.
"Wisdom begins," both Psalms and Proverbs teach, "with fear of God." In other words, no God, no wisdom. But there is another way of asserting how and where wisdom begins. Wisdom begins with acknowledging how flawed human nature is. Or, to put it as succinctly as possible, you cannot be wise if you think people are basically good. You can be a sweet, kind, and well-intentioned person if you believe people are basically good, but you cannot be wise. Indeed, you are more likely to be a naive fool.
The belief that people are basically good, a belief that neither Judaism nor Christianity has ever held, is a major obstacle to making a good society. For one thing, parents who believe this will not discipline their children as much as they need to. They will assume, as three generations of American parents now have, that all a child needs is love. And for another, people who believe human nature is good are much less inclined to punish criminals because they will blame murder, theft, rape, and other evils on economic circumstances, parents, and society—on anything but the criminal's failure to control his flawed nature.
No. 4: Religious Upbringing: Holy days. Secular Upbringing: No holy days.
Religious children celebrate holy days—the Sabbath each week and other holy days in their respective religious calendars. Regular times devoted to the Transcendent have a major impact on the development of a child. The secular child has secular holidays, but they mean little to most American young people. July Fourth is a day off with a barbecue. Meaningless Halloween has come to have more significance than meaningful Christmas. Presidents' Day means nothing. And Thanksgiving is increasingly declared Indigenous Peoples' Genocide Day.
No. 5: Religious Upbringing: Friends plus community. Secular Upbringing: Friends, but no community.
Loneliness is a greater pandemic in the modern world than COVID-19, so much so that the UK now has a Minister of Loneliness to try to combat the problem.
This is, in large measure, another consequence of secularism. Religious Jewish and Christian (including Mormon) kids grow up with an abundance of friends and a whole religious community thanks to religious school and thanks to their synagogue or church. What is the communal secular equivalent of the church, synagogue, and religious school? Other than sports (which, in any event, is available to only the handful of young people who play on a team), there isn't any.
No. 6: Religious Upbringing: The obligation to honor parents. Secular Upbringing: No such obligation.
Religious Jewish and Christian children are taught the Ten Commandments, one of which is "Honor your father and mother." It goes without saying that many secular children honor their parents, but they do so only if they want to. Religious children are told to honor parents whether they feel like it or not—which is important because very few children always feel like honoring their mother and father.
There is another pandemic in America—that of adult children who have decided never to talk to one or both of their parents. I would wager a serious sum of money that few of those adult children are religious Jews or Christians.
There's a lot more that distinguishes religious and secular upbringings. But one stands out: Religious kids are generally happier.
Is one upbringing better than the other? You decide.
Views expressed in this article are the opinions of the author and do not necessarily reflect the views of The Epoch Times.
Follow
Dennis Prager is a nationally syndicated radio talk-show host and columnist.
###
"Hate Cannot Drive Out Hate. Only Love Can Do That", Dr. Martin Luther King.
-- ________________________________________________________________ -Ushobora kohereza message yawe kuri : rwandaforum@googlegroups.com -Ushobora kwiyandikisha kuri iyo groupe wandikira: rwandaforum+subscribe@googlegroups.com -Ushobora kwikura kuri iyo groupe wandikira: rwandaforum+unsubscribe@googlegroups.com -Archives z'iyi groupe ushobora kuzisoma kuri: https://rwandaforumonline.blogspot.com/ -Contact: rwandaforumonline@gmail.com ____________________________________________________ --- You received this message because you are subscribed to the Google Groups "Rwanda Forum" group. To unsubscribe from this group and stop receiving emails from it, send an email to rwandaforum+unsubscribe@googlegroups.com. To view this discussion on the web visit https://groups.google.com/d/msgid/rwandaforum/1318897233.1458840.1639541854701%40mail.yahoo.com.
-- ________________________________________________________________ -Ushobora kohereza message yawe kuri : rwandaforum@googlegroups.com -Ushobora kwiyandikisha kuri iyo groupe wandikira: rwandaforum+subscribe@googlegroups.com -Ushobora kwikura kuri iyo groupe wandikira: rwandaforum+unsubscribe@googlegroups.com -Archives z'iyi groupe ushobora kuzisoma kuri: https://rwandaforumonline.blogspot.com/ -Contact: rwandaforumonline@gmail.com ____________________________________________________ --- You received this message because you are subscribed to the Google Groups "Rwanda Forum" group. To unsubscribe from this group and stop receiving emails from it, send an email to rwandaforum+unsubscribe@googlegroups.com. To view this discussion on the web visit https://groups.google.com/d/msgid/rwandaforum/1826838537.2896877.1639532312480%40mail.yahoo.com.