[Rwanda Forum] Re: Réponse de Patrick Mbeko à Nathalie Yamb sur le rôle de la France au Rwanda

Mme Yamb n'est pas une nulle, mais la mise au point de Mr Mbeko semble être "un point-virgule", en 1959 j'avais 9 ans, de notre paroisse de Rwannkuba j'ai vu la fumée s'élever au dessus de ce qui avait été "jusque là" chez nous, mais les "révolutionaires" venus de l'autre coté de la Nyabarongo (Ndiza) "outnumbered" nos voisins , d'autant plus que le commandant Tripollo et sa force publique se sont bornés à "protéger" les réfugiés que nous étions, peu de temps après des bléssés parmi les révolutionaires ont été amenés pour soins à la paroisse ou nous étions, plus proche que le dispensaire, suite à partage plutot violent des 6 vaches de mon père..(nul car autoréflexif)

Mr Mbeko peut corriger Mme Yamb, mais n'est-il pas bien placé pour "s'indigner" des propos du président Kagame en gardant en memoire que cette revolution qui a conduit Kagame en exil n'avait en apprarence rien à voir avec la mort de Patrice Lumumba, moins de 14 mois plus tard, le colonel Guy Logiest qui a supervisé la révolution Rwandaise était au paravent en garnison à Kisangani (ou Lumumba a forgé son caractère d'indépendantisté, si indignation il y avait, n'aurait-elle pas eu pour objet la cérémonie de réstitution de ses restes (quels restes?).

Rafle du Vélodrome d'Hiver — Wikipédia (wikipedia.org)

Reconnaissance de la responsabilité de la France[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Discours de Jacques Chirac du 16 juillet 1995 au Vélodrome d'Hiver.

Les présidents de la République Charles de Gaulle et François Mitterrand ont pris publiquement comme position que la France et la République ne devaient pas être confondues avec le régime de Vichy57.

Le 16 juillet 1995, le président Jacques Chirac rompt avec la position de ses prédécesseurs et reconnaît devant le monument commémoratif la responsabilité de l'« État français » (et non de la République française largement critiquée par Pétain) dans la rafle et dans la Shoah, ainsi que celle de la France qui a alors « accompli l'irréparable »58. Il a notamment déclaré :

« Ces heures noires souillent à jamais notre histoire et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'État français.
Il y a cinquante-trois ans, le 16 juillet 1942, 450 [sic] policiers et gendarmes français, sous l'autorité de leurs chefs, répondaient aux exigences des nazis.
Ce jour-là, dans la capitale et en région parisienne, près de dix mille hommes, femmes et enfants juifs furent arrêtés à leur domicile, au petit matin, et rassemblés dans les commissariats de police.
[…]
La France, patrie des Lumières et des Droits de l'Homme, terre d'accueil et d'asile, la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. »

Le 22 juillet 2012, lors de la célébration du 70^e anniversaire de la rafle, le président de la République François Hollande déclare que « Ce crime fut commis en France, par la France » et que ce crime « fut aussi un crime contre la France,

On Tuesday, June 8, 2021, 01:14:54 a.m. EDT, Michel Niyibizi <niyimike@yahoo.fr> wrote:

Réponse de Patrick Mbeko à Nathalie Yamb sur le rôle de la France au Rwanda

Réponse de Patrick Mbeko à Nathalie Yamb sur le rôle de la France au Rwanda

Réponse de Patrick Mbeko à Nathalie Yamb sur le rôle de la France au ...