Cher Nikozitambirwa,
Dans le temps on disait, il ne faut pas meler le sport et la politique, on n'a jamais mentioner le sexe .... jusqu'à ...... l'affaire Lewinski et le mouvement #MeToo, le pays des mille collines n'est pas pionnier.
La Califirnie et Hollywood s'en mèle,
- McGowan accused Gov. Gavin Newsom's wife of trying to silence her about Harvey Weinstein.
- Elder's ex-wife has accused him of domestic violence and said he pressured her into "unwanted sexual activity," which Elder has denied.
- Newsom est democrate (et actuel gouverneur, Elder est républicain).
- Rose McGowan appeared with Larry Elder and accused Gov. Gavin Newsom's wife of trying to silence her about Harvey Weinstein (msn.com)
Rose McGowan appeared with Larry Elder and accused Gov. Gavin Newsom's w...
A spokesperson for Jennifer Siebel Newsom called the claim a "complete fabrication" and pointed out Newsom also ...
Le sexe va-t-il determiner le futur gouverneur de la Californie ?
Faut-il rappeler que le gouverneur de l'Etat de New York a du aussi demissioner, pas pour abus sexuels mais plutot ..harrasment!, oh la puritaine Amerique, qui saisie les chattes à la gorge et qui s'en vante!
Ah oui! au pays plat le clan Michel et aussi Kayumbisé! et l'héxagone et l'affaire DSK? Sexe et politique : les scandales les plus retentissants - ladepeche.fr
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On Sunday, September 12, 2021, 10:27:43 a.m. EDT, Ildephonse Murayi Habimana <murayild@hotmail.com> wrote:
Ndacyayisenga,
Par Charly Hessoun le samedi 11 septembre 2021
Bonjour.
Question pour un champion.
Tous les Kayumba sont-ils Nyamwasa ?
Rwanda : Christopher Kayumba, opposant à Kagame arrêté pour viol – La Nouvelle Tribune La récente affaire de Christopher Kayumba, nouvel opposant déclaré de Paul Kagame défraie la chronique dans le pays et renforce l'idée selon laquelle il ne fait pas bon de s'opposer au leader rwandais. En mars dernier il annonçait la création du parti d'opposition, la Plateforme rwandaise pour la démocratie (PRD). Peu de temps plus tard, celui qui était professeur d ... lanouvelletribune.info |
La récente affaire de Christopher Kayumba, nouvel opposant déclaré de Paul Kagame défraie la chronique dans le pays et renforce l'idée selon laquelle il ne fait pas bon de s'opposer au leader rwandais. En mars dernier il annonçait la création du parti d'opposition, la Plateforme rwandaise pour la démocratie (PRD). Peu de temps plus tard, celui qui était professeur d'université se faisait accuser par une ancienne élève de viol.
Des faits que l'accusatrice Fiona Ntarindwa situe au courant de l'année 2017. Se servant de son compte twitter, elle a accusé son ancien professeur Christopher Kayumba de viol. Une chronologie que les proches du nouvel opposant juge déconcertante. Mais pour les autorités, l'arrestation de M. Kayumba n'a rien à voir avec ses nouvelles orientations professionnelles. Donc aucun lien avec le président Kagame, officiellement !
L'histoire de M. Kayumba rappelle celle de l'opposante Diane Rwigara qui a eu maille à partir avec les autorités judiciaires de son pays après s'être opposée publiquement au président Kagame. Ce dernier à qui l'on attribue les progrès de son pays et la stabilité gagnée après l'effroyable génocide de 1994 ne fait pas toujours l'unanimité, mais qu'à cela ne tienne, selon son entourage.Ildephonse Murayi-Habimana
12.09.2021
L'ancien professeur d'université, récemment devenu opposant, a été arrêté ce jeudi 9 septembre 2021. Il est accusé de viol et de tentative de viol pour des faits datant de 2017. L'affaire avait éclaté juste après le lancement de son parti d'opposition.
L'ancien directeur de la rédaction du journal « The Chronicles », Dr Christopher Kayumba, qui a récemment lancé un parti politique d'opposition après avoir été libéré de prison, est accusé de viol sur une fille.Le Bureau d'enquête du Rwanda (RIB) a confirmé l'arrestation du Dr Christopher Kayumba après une longue enquête sur les viols et […] www.journaldumali.com |
https://www.journaldumali.com/2021/09/10/rwanda-un-opposant-arrete-pour-viol-presume/
Publié le 10.09.2021 à 16h18 par APA
Les accusations selon lesquelles Kayumba a agressé sexuellement l'une de ses étudiantes quand il était maître de conférences à l'école de journalisme et de communication de l'université du Rwanda ont été rendues publiques en mars dernier.
Cela a incité la police judiciaire à ouvrir une enquête sur ce viol présumé.
Suite aux allégations portées contre le Dr Kayumba en mars, il a été convoqué par la justice pour répondre aux accusations.
Le porte-parole du RIB, Dr Thierry Murangira, a expliqué que l'enquête s'est poursuivie alors qu'il n'était pas en détention « parce que, à ce moment-là, il n'y avait pas de preuves suffisantes ».
« C'est une procédure. Les enquêtes ont continué, car des preuves et des témoignages ont été recueillis. Et les conclusions des enquêtes montrent actuellement des raisons suffisantes de croire qu'il a commis les infractions. Par conséquent, l'enquêteur a décidé de le placer en détention provisoire », a-t-il déclaré.
Il a ajouté que l'enquêteur est autorisé par la loi à placer une personne en détention, en tenant compte d'autres circonstances liées à la conduite et au comportement du suspect, à la catégorie et à la gravité de l'infraction.
Expliquant pourquoi les victimes présumées d'agressions sexuelles ont mis du temps à porter plainte contre le suspect, Murangira a déclaré que cela pouvait être dû à différentes raisons, notamment les menaces de l'accusé, la peur de la stigmatisation sociale, entre autres.
Une ancienne étudiante de l'Université du Rwanda a récemment fait une sortie pour affirmer que son professeur de l'époque, Dr Christopher Kayumba, l'a agressée et a tenté de la forcer à avoir une relation sexuelle dans sa maison.
« Il m'a tiré et poussé sur le canapé en essayant de me forcer à coucher avec lui », a accusé un ami de l'étudiante dans un message sur Twitter, citant la présumée victime.
Apparemment, la dame a réussi à s'échapper à l'emprise de Kayumba, mais elle a déclaré que c'était « une éternité de torture émotionnelle et psychologique ».
Pour sa part, le Dr Kayumba a nié en bloc ces allégations. « Ce n'est pas vrai, et cette dame qui a tweeté ces allégations est payée pour faire de la propagande, rien d'autre », s'est-il défendu.
www.rfi.fr |
Publié le : 11/09/2021 - 00:08
Vue de Kigali. RFI/Laure Broulard
L'ancien professeur d'université, récemment devenu opposant, a été arrêté jeudi. Il est accusé de viol et de tentative de viol pour des faits datant de 2017. L'affaire avait éclaté juste après le lancement de son parti d'opposition.
Avec notre correspondante à Kigali, Laure Broulard
Le 18 mars 2021, Christopher Kayumba annonce le lancement d'un parti d'opposition. La Plateforme rwandaise pour la démocratie (PRD), un fait rare dans le paysage politique rwandais où la quasi totalité des parti sont affiliés au FPR de Paul Kagame. Quelques jours plus tard, des accusations d'agressions sexuelles émergent dans les médias et sur les réseaux sociaux. Fiona Ntarindwa, une ancienne élève de Christopher Kayumba devenue journaliste pour la chaine CNBC, l'accuse par exemple directement sur Twitter.
Depuis, l'opposant a été interrogé à plusieurs reprises sur des faits datant de 2017. « Si ces accusations de viol sont vraies, je ne comprends pas pourquoi elles n'ont pas émergé plus tôt », confie un proche de Christopher Kayumba, qui assure que les autorités ont commencé à se pencher sur le passé de l'ancien professeur depuis la formation du PRD.
Le Bureau des enquêtes rwandais assure de son côté que son arrestation n'a rien à voir avec ses activités politiques et qu'elle est le résultat d'une enquête ouverte suite à des plaintes déposées par deux femmes début mars 2021, avant le lancement du parti donc…
Ce n'est pas la première fois que Christopher Kayumba à affaire à la justice. Le fondateur du journal en ligne The Chronicles a déjà passé un an en prison, pour « troubles à l'aéroport de Kigali et ivresse sur la voie publique ». À l'époque, ses proches avaient dénoncé une campagne de dénigrement contre lui.Ildephonse Murayi-Habimana
11.09.2021
Rwandanet
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