[Rwanda Forum] Re: [rwandanet] Au temps pour moi ! Bernard TAPIE n'est plus.| Il avait 78 ans (26.01.1943 - 03.10.2021) | R.I.P. TAPIE.

On Sunday, October 3, 2021, 10:04:01 a.m. EDT, 'NIKOZITAMBIRWA' via rwandanet <rwandanet@googlegroups.com> wrote:



Au temps pour moi ! Bernard TAPIE n'avait pas 77 ans; il en avait 78.
Bernard TAPIE n'est plus. Il a rendu l'âme ce dimanche 3 octobre 2021 dans le 7e arrondissement de Paris. R.I.P. TAPIE.
Bernard TAPIE (26.01.1943 - 03.10.2021)
Bernard Tapie, l'homme aux mille vies
Publié le 03/10/2021 à 09:59 , mis à jour à 11:38
« L'homme, à mon avis, se perfectionne par la confiance. Par la confiance seulement. Jamais le contraire. » ― [Mustafaj]
Abatabizi bicwa no kutabimenya.
Nikozitambirwa
03.10.2021
Mort de Michel Tubiana, avocat, militant des droits de l'homme et «phare» de la LDH – Libération - liberation.fr | Il avait 68 ans
( 24.11.1952 - 02.10.2021)

Disparition
La Ligue des Droits de l'homme a annoncé ce samedi le décès son président d'honneur. Les hommages affluent de toutes parts pour saluer la mémoire d'un «militant infatigable».
La Ligue des droits de l'homme (LDH) a annoncé ce samedi 2 octobre 2021 le décès son président d'honneur. Les hommages affluent de toutes parts pour saluer la mémoire d'un «militant infatigable».
Michel TUBIANA ( 24.11.1952 - 02.10.2021)
L'avocat Michel Tubiana, président d'honneur de la Ligue des droits de l'Homme (LDH), est décédé samedi à 69 ans. (Vincent Isore/IP3)
La Ligue des Droits de l'homme a annoncé ce samedi le décès son président d'honneur. Les hommages affluent de toutes parts pour saluer la mémoire d'un «militant infatigable».
par LIBERATION et AFP
publié le 2 octobre 2021 à 15h48
Au fil des archives de Libération, son nom revient souvent. Très souvent. Non pas que le journal lui ait consacré de nombreuses pages mais plutôt au fil de sa mobilisation : c'est sa signature qu'on retrouve continuellement au bas d'une pétition, d'une tribune ou d'une lettre ouverte. Avocat et «militant infatigable de la défense des droits de l'Homme en France et dans le monde», Michel Tubiana s'est éteint ce samedi à l'âge de 69 ans.
C'est la Ligue des droits de l'Homme (LDH) qui a annoncé la mort de son président d'honneur. Il en «était un des maillons essentiels […], un phare, toujours disponible et toujours clairvoyant», écrit l'association dans un communiqué, avant d'adresser ses «plus sincères condoléances à ses enfants, Emma et Lucas, ainsi qu'à tous ses proches et amis». L'association «lui rendra un hommage public dans les prochaines semaines».
«On est effondrés, on perd un grand homme qui, par son intelligence, son acuité intellectuelle et sa vivacité d'esprit, était véritablement une référence pour la Ligue», a réagi auprès de l'AFP Malik Salemkour, actuel président de la LDH. «Il était encore très investi», «en alerte en permanence sur l'actualité et il nous aiguillonnait en permanence pour qu'on soit rigoureux, fermes, au regard du droit et des valeurs fondamentales», a-t-il ajouté.
«Ardent défenseur de nos libertés et de la dignité humaine»
Après l'annonce de sa mort, les hommages à Michel Tubiana se sont succédé sur Twitter, venant de toute la gauche. Clémentine Autain, députée LFI de Seine-Saint-Denis a adressé ses «pensées émues» à ses proches, saluant une «grande voix des droits humains».
«Ce grand avocat, ancien Président de la LDH a été un ardent défenseur de nos libertés et de la dignité humaine», a réagi Fabien Roussel, secrétaire national du PCF. «Une grande perte», a déploré de son côté le secrétaire national d'EE-LV Julien Bayou, remerciant le président d'honneur de la LDH «pour son combat infatigable».
«Une grande voix vient de s'éteindre, écrit Olivier Faure, premier secrétaire du PS. Le plus bel hommage que nous puissions lui rendre est de prolonger son combat pour les droits humains.» Le député du Val-d'Oise Aurélien Taché, ex-LREM, a fait part de sa «tristesse infinie».
Secrétaire général de la LDH entre 1984 et 1995, Michel Tubiana a succédé à Henri Leclerc à la présidence de l'association entre 2000 et 2005, avant de devenir président d'honneur. Il était par ailleurs président d'honneur d'EuroMed Droits et ancien vice-président de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), précise l'association dans un communiqué.
En robe noire, Michel Tubiana, dont Libération avait dressé le portrait en 2005, a notamment plaidé en tant que partie civile au procès de Maurice Papon en 1998, ou encore défendu le cofondateur du groupe armé d'extrême gauche Action directe Jean-Marc Rouillan.
Il a été l'un des «artisans de la paix», membres de la société civile et chevilles ouvrières de l'opération de «désarmement» de l'organisation séparatiste basque ETA, et il a appartenu au collectif «Bake Bidea», qui milite pour les droits des prisonniers basques. Plus récemment, il a été l'avocat de deux camarades de Clément Méric, étudiant antifasciste tué dans une rixe avec des skinheads à Paris en 2013.
Michel TUBIANA ( 24.11.1952 - 02.10.2021)
Michel TUBIANA
( 24.11.1952 - 02.10.2021)
Michel TUBIANA 
Fonction
Président
Ligue des droits de l'homme
12 juin 2000 - 12 juin 2005
Biographie
Naissance
Décès
2 octobre 2021 (à 68 ans)
Nationalité
Activités
Autres informations
Membre de
Blog officiel


Michel Tubiana est un avocat français né le 24 novembre 1952 à Alger et mort le 2 octobre 2021. Il préside de la Ligue des droits de l'homme de 2000 à 2005.

Biographie

Famille, jeunesse et formation

Michel Tubiana a dix ans en 1962 lorsque sa famille quitte l'Algérie et s'installe à Paris. Son père est juge auprès du tribunal de commerce. Sa mère élève ses trois fils.

En 1967, lycéen, il milite à la JCR (Jeunesse communiste révolutionnaire, d'obédience trotskyste).

En 1972, étudiant en droit, il entre en Franc-maçonnerie, au Grand Orient de France, dans la loge Salvador-Allende1.

Carrière

En 1974, il devient avocat. Il a défendu Klaus Croissant, l'avocat de la bande à Baader, et est intervenu au procès Papon1, mais ses revenus lui viennent surtout du droit des affaires.

Le 12 juin 2000, Michel Tubiana succède à Henri Leclerc à la présidence de la Ligue des droits de l'homme (LDH). Il le demeure jusqu'en juin 2005, fin de son mandat.

Le 27 janvier 2014, le journal Le Monde a cité, entre autres, le nom de Michel Tubiana comme évadé fiscal en Suisse dans le cadre du fichier d'HSBC.

Prises de position

Michel Tubania s'oppose à l'extradition du terroriste italien d'extrême-gauche Cesare Battisti.

Mort

Le 2 octobre 2021, la Ligue des droits de l'Homme (LDH) annonce son décès4.

Ildephonse Murayi-Habimana
02.10.2021
    François Vérove alias "le Grêlé". Photo DR
L'ancien gendarme François Vérove, qui a avoué dans une lettre être le tueur et violeur en série surnommé "le Grêlé", s'est suicidé dans le Gard cette semaine. Il était recherché depuis ...
Publié le 02/10/2021 à 07:00
l'essentiel
L'ancien gendarme François Vérove, qui a avoué dans une lettre être le tueur et violeur en série surnommé "le Grêlé", s'est suicidé dans le Gard cette semaine. Il était recherché depuis les années 1980. Une affaire hors-norme vieille de 35 ans que la Dépêche du Midi vous résume.
Un homme "avenant", "plutôt sympathique" et impliqué dans la vie locale. Voilà le visage qu'affichait François Vérove à Prades-le-Lez dans l'Hérault. En réalité, cet ancien policier était un violeur et un tueur en série soupçonné de six viols et quatre meurtres commis entre 1983 et 1997. Les enquêteurs étaient sur ses traces depuis 35 ans. L'homme a mis fin à ses jours cette semaine dans un appartement du Grau-du-Roi dans le Gard. Cette affaire était le plus vieux "cold case" de France.
    Quels sont les faits ?
La justice cherchait depuis 35 ans l'auteur de six viols et quatre meurtres commis dans les années 80 et 90. L'individu était soupçonné du meurtre et du viol de Cécile Bloch, 11 ans, le 5 mai 1986 à Paris ; de la mort de Gilles Politi, un mécanicien d'Air France de 38 ans, et du décès d'Irmgard Mueller, une jeune Allemande au pair de 20 ans, le 29 avril 1987 toujours à Paris. Il serait l'auteur du meurtre de Karine Leroy, 19 ans, qui avait disparu sur le chemin du lycée le 9 juin 1994 à Beauval en Seine-et-Marne. Six autres viols commis entre 1986 et 1994 lui sont également imputés.
Depuis 35 ans, la justice ne disposait que d'un portrait-robot et d'une trace ADN jusqu'à ce que la brigade criminelle resserre l'étau sur François Vérove. Cet ancien militaire de 59 ans avait été convoqué le 29 septembre au commissariat et devait subir un prélèvement ADN comme 750 gendarmes avant lui.
Surnommé "le Grêlé", il a mis fin à ses jours dans une maison louée au Grau-du-Roi dans le Gard.
C'est dans cette maison que François Vérove s'est donné la mort au Grau-du-Roi. Photo MaxPPP
    Que sait-on de cet homme ?
François Vérove a été gendarme entre 1983 et 1988 au sein de la cavalerie de la Garde républicaine. Il rejoint ensuite la police nationale. Il a été motard, membre de la brigade des mineurs ou encore délégué syndical. Retraité depuis quelques années, après un accident de moto en service, il avait acheté une grande maison d'architecte à Prades-le-Lez au nord de Montpellier. Il avait été intégré le conseil municipal en 2019 jusqu'en 2020. Il avait alors déménagé à la Grande-Motte. François Vérove est marié, père de famille et a des petits-enfants.
François Vérove et sa famille habitaient dans cette maison à La Grande-Motte.
    Pourquoi est-on sûr que c'est lui le tueur en série ?
Avant de se donner la mort à l'aide de médicaments, François Vérove a laissé une lettre posthume. Il y avoue qu'il est "le Grêlé", l'homme traqué depuis 35 ans. Il explique qu'il "n'était pas bien dans sa vie", évoque des "pulsions" liées à son enfance et qu'il s'était "pris en main" depuis 1997 après avoir rencontré sa femme et avoir eu des enfants. Il explique aussi avoir préféré la mort pour ne pas éclabousser sa famille et la protéger.
L'identité du "Grêlé" a été confirmée par les prélèvements ADN. La trace ADN que possédaient les enquêteurs depuis les années 80 et le prélèvement effectué sur la dépouille de François Vérove ont été comparés. Elles matchent. Ce qui permet de confirmer l'identité du tueur en série.
"C'est la grande affaire criminelle du 36 [quai des Ordèvres, NDLR] que la Crim' n'avait pas résolue. À plusieurs reprises, on a cru tenir le coupable, mais non", se réjouit Frédéric Péchenard, l'ancien grand patron de l'institution policière.
- Cécile Bloch, fillette de 11 ans, est retrouvée morte en 1986 dans le 19e arrondissement de Paris. Son corps était caché sous la moquette d'un local technique de la résidence où elle habitait. La jeune fille a été violée, poignardée et étranglée. C'est le témoignage du demi-frère de Cécile, qui avait croisé "le Grêlé" dans l'ascenseur, qui a permis d'établir le portrait-robot. Le père de Cécile, Jean-Pierre, était originaire de Cahors où il était inspecteur de la Sécurité sociale. Jusqu'à sa mort en 2011, il était rongé par cette obsession : qui avait tué Cécile, sa fille. En 2004, il déclarait à La Dépêche : "Personne n'enterrera l'affaire. Personne. Même si je disparais".
Cécile Bloch a été tuée à 11 ans.
- Gilles Politi, un mécanicien d'Air France, est retrouvé mort le 29 avril 1987 dans le Marais à Paris. Il est nu, ligoté, les bras et jambes liés dans le dos. Des brûlures de cigarette sont relevées sur son corps qui présente des incisions au niveau du cou. Il est mort par strangulation.
- Irmgard Muller, une jeune fille au pair allemande, est retrouvée dans le même appartement La jeune femme est dénudée, ficelée, bâillonnée avec les bras attachés en croix à un lit superposé d'enfant. Elle avait eu un rapport sexuel consenti avec son assassin quelques heures plus tôt, selon l'autopsie. Elle est morte par strangulation.
- Ingrid, 11 ans, est enlevée alors qu'elle fait du vélo dans l'Essonne en 1994. Violée, elle sera retrouvée attachée à un radiateur dans une ferme abandonnée.
- Karine Leroy, disparue trois jours plus tôt, est retrouvée le 12 juin 1994 à Meaux en Seine-et-Marne. Elle a une ficelle autour du cou
    Cette révélation va-t-elle provoquer d'autres enquêtes ?
Une information judiciaire a été ouverte pour "viols sur mineurs de 15 ans, assassinats, tentative d'homicide volontaire, vols avec arme, usage de fausse qualité et enlèvement et séquestration sur mineur de 15 ans", a indiqué la procureure de la République de Paris Laure Beccuau. Malgré la mort de François Vérove, l'affaire n'est pas bouclée. Les enquêteurs vont maintenant reconstituer son parcours criminel.
Cyril Brioulet

Faits divers, Affaire du "Grêlé", France - Monde
l'essentiel Un ancien gendarme, François Verove, s'est donné la mort ce mardi dans son appartement du Grau-du-Roi. Dans une lettre posthume, il affirme être le "Grêlé", un tueur et violeur en ...
Cet ancien gendarme faisait partie de l'équipe municipale de Prades-le-Lez (Hérault). Twitter
Cet ancien gendarme faisait partie de l'équipe municipale de Prades-le-Lez (Hérault). Twitter
Publié le 30/09/2021 à 19:45 , mis à jour le 01/10/2021 à 11:53
l'essentiel
Un ancien gendarme, François Verove, s'est donné la mort ce mardi dans son appartement du Grau-du-Roi. Dans une lettre posthume, il affirme être le "Grêlé", un tueur et violeur en série recherché depuis plusieurs décennies. Ce jeudi 30 septembre 2021, les analyses ADN ont confirmé ses propos.
C'est une véritable page qui pourrait se tourner dans le vaste dossier qui entoure l'affaire dite du "Grêlé", un homme suspecté de multiples viols et meurtres sur ces 35 dernières années. Un ancien gendarme, François Verove, a été retrouvé mort ce mercredi 29 septembre dans un appartement au Grau-du-Roi. Dans une lettre, celui-ci a affirmé être celui que l'on appelle "le Grêlé". Selon Le Parisien, l'intéressé aurait expliqué, dans une lettre ne pas s'être senti "bien dans sa vie" à l'époque des faits. Il assure s'être "pris en main" depuis et n'avoir "rien fait" depuis 1997.
Le "Grêlé" était un élu municipal
Selon nos confrères de Midi Libre, cet ancien gendarme faisait partie de l'équipe municipale de Prades-le-Lez (Hérault) lors du précédent mandat. "Il était sur la liste en 2014, mais il n'était pas en position de siéger", se souvient Jean-Marc Lussert, ancien maire de la commune de Prades-le-Lez. François Verove était alors quinquagénaire et venait de s'installer dans le village héraultais en 2013. Il a par la suite déménagé en 2019 à La Grande-Motte.
À Prades-le-Lez, "il y a eu des démissions, et il a intégré le conseil en 2019. Il n'avait pas de fonction particulière, si ce n'est qu'il aimait bien tout ce qui est réseaux sociaux, il s'occupait notamment de la communication de la liste", décrit l'ancien maire qui parle d'un homme obligé de s'appuyer sur une canne pour marcher. En effet, François Verove partageait sur Twitter de nombreux postes créés sur Facebook pour promouvoir les actualités de la municipalité.
François Verove partageait sur Twitter les actualités de sa municipalité. Capture d'écran Twitter
Gendarme dans la garde républicaine
Entre 1983 et 1988, François Verove était gendarme, en poste dans la cavalerie de la garde républicaine. Il aurait ensuite rejoint la police nationale après son passage dans l'armée, selon les informations du Parisien. Là, il est motard, membre de la brigade des mineurs puis délégué syndical dans le sud de la France. "C'était quelqu'un de calme, de posé, se souvient un ancien collègue. Il avait une voix douce, c'était un gentil, un camarade serviable qui cherchait en permanence à régler les conflits" assure un de ses anciens collègues auprès du quotidien parisien.
Il avait déménagé à La Grande-Motte
"Pour se rapprocher de la mer avec sa femme", François Verove avait déménagé, depuis six ans, dans le quartier des Goélands à La Grand-Motte. Personnage serviable et investi dans la vie de la commune, il avait organisé une réunion pour créer un système de soutien entre voisins.
"Cet été on le voyait passer avec son vélo électrique à grosses roues, il tirait une petite remorque dans laquelle ses petits-enfants prenaient place pour aller à la plage" rajoute une de ses voisines. Sa femme a, quant à elle, été exfiltrée de son domicile par les gendarmes ce jeudi.
Une lettre posthume
Dans un appartement du Grau-du-Roi, François Verove s'est donné la mort, peu de temps avant sa convocation au commissariat pour un prélèvement ADN. Selon les informations de Midi Libre, il se justifie dans cette lettre, en expliquant avoir eu des "pulsions". Il affirme avoir eu des problèmes dans son enfance, cause de ces meurtres et viols en série. Rencontrer sa femme et avoir eu des enfants aurait "apaisé ses démons", puisqu'il assure depuis n'être plus passé à l'acte depuis, selon le quotidien.
Avant sa convocation, il aurait préféré se suicider dans un souci de protection de sa famille. Il n'aurait pas voulu qu'elle soit trop éclaboussée par les révélations.
Robin Serradeil
suivre ce journaliste
Murayi-Habimana
02.10.2021

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