Il y a deux types de gens qui n'ont rien à cacher 1- les honnêtes gens, 2- Ceux qui n'ont vraiment rien de rien, et ceux qui péga-sucent?ils y prennent plaisir ou alors ils sont masochistes, ou alors, alors ..... à n'en plus finir!
On Tuesday, July 20, 2021, 08:55:49 a.m. EDT, 'NIKOZITAMBIRWA' via Abatangana <abatangana@googlegroups.com> wrote:
Les révélations sur le logiciel Pegasus prouvent que la cyber surveillance n'est plus une exception : c'est la règle. En piratant les contenus des téléphones des opposants, des journalistes ou du pékin moyen, les Etats peu scrupuleux s'affranchissent de l'éthique. L'espionnage n'est plus une affaire de soupçons, mais une démarche a priori. Au bon vieux temps des écoutes téléphoniques, des excès avaient déjà eu lieu. Pourtant, il y avait des garde-fous : l'autorisation d'un magistrat ou d'une haute autorité administrative était requise. Mais avec Pegasus, plus de souci : une tête ne vous revient pas, un propos vous contrarie et hop, toute une vie numérique est passée au crible. Plus besoin d'une raison valable, d'une carte blanche : les régimes autoritaires tiennent l'arme absolue pour museler toute contestation. Pire, sous couvert de sécurité nationale ou de lutte contre le terrorisme, même les régimes les plus vertueux peuvent, eux-aussi, verser dans l'espionnite aiguë. Les séries télé l'avaient imaginé, la réalité l'a fait et les journaux le dénoncent… Sale temps pour la vie privée.La matinale du Républicain Lorrain
Mardi 20 juillet 2021
Espionnite aiguë
Michel Klekowicki
Technologie. Pegasus : les cinq choses à savoir sur le logiciel informatique qui fait polémique
Par Baptiste BERKOWICZ avec AFP - Hier à 18:15 | mis à jour hier à 22:53
Selon différents médias internationaux, dont le journal français Le Monde, des militants, des journalistes et des opposants du monde entier ont été espionnés grâce à un logiciel mis au point par l'entreprise israélienne NSO Group. Une affaire qui suscite l'indignation et qui renforce les soupçons à l'encontre des régimes autoritaires. Mais qui est vraiment Pegasus ?
Abatabizi bicwa no kutabimenya.
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Les révélations sur le logiciel Pegasus prouvent que la cyber surveillance n'est plus une exception : c'est la règle. En piratant les contenus des téléphones des opposants, des journalistes ou du pékin moyen, les Etats peu scrupuleux s'affranchissent de l'éthique. L'espionnage n'est plus une affaire de soupçons, mais une démarche a priori. Au bon vieux temps des écoutes téléphoniques, des excès avaient déjà eu lieu. Pourtant, il y avait des garde-fous : l'autorisation d'un magistrat ou d'une haute autorité administrative était requise. Mais avec Pegasus, plus de souci : une tête ne vous revient pas, un propos vous contrarie et hop, toute une vie numérique est passée au crible. Plus besoin d'une raison valable, d'une carte blanche : les régimes autoritaires tiennent l'arme absolue pour museler toute contestation. Pire, sous couvert de sécurité nationale ou de lutte contre le terrorisme, même les régimes les plus vertueux peuvent, eux-aussi, verser dans l'espionnite aigue. Les séries télé l'avaient imaginé, la réalité l'a fait et les journaux le dénoncent… Sale temps pour la vie privée. |
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