On the day he arrived in the #DRC, we informed our point of contact in the DRC that Congressman @RepRonnyJackson was not sent there by President @realDonaldTrump, nor was he part of an official delegation of the United States Congress. Nevertheless, the media began publishing incorrect statements about the Congressman, causing confusion in the DRC.
We once again urge the media not to run stories based on a single source and to confirm all information through official sources and authorized representatives.
Members of Congress may visit foreign countries on their own accord and will be welcomed in the spirit of friendship extended to all members of Congress. Congressman Jackson's opinions are his own and do not reflect the official view of the Trump Administration or Congress. We will be engaging with the Congressman's office to address his concerns.
Cette année, la Ville de Liège ne commémorera pas le génocide des Tutsis - RTBF Actus
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La Ville de Liège ne va pas commémorer l'anniversaire du génocide des Rwandais Tutsis cette année. Une célébration devait se tenir le 12 avril, mais le contexte international a refroidi la Ville et sa police.
Cette année, la Ville de Liège ne commémorera pas le génocide des Tutsis
La Ville de Liège ne va pas commémorer l'anniversaire du génocide des Rwandais Tutsis cette année. Une célébration devait se tenir le 12 avril, mais le contexte international a refroidi la Ville et sa police.
A cause de la guerre dans l'est du Congo
L'année dernière, pour le trentième anniversaire, une séance s'était tenue à l'hôtel de Ville. Cette année, la police a averti le bourgmestre : Il vaut mieux s'abstenir. Parce que c'est dangereux estiment les forces de l'ordre liégeoises.
"Une analyse de risques a été effectuée" explique la porte-parole Jadranka Lozina. "La police de Liège a rendu un avis défavorable. Le contexte politique international est particulièrement tendu".
Eviter des affrontements à Liège entre Rwandais et Congolais
Le contexte international, c'est le Rwanda qui a rompu ses relations avec la Belgique. C'est la guerre dans l'est du Congo. C'est le Rwanda que les Congolais accusent d'être derrière le mouvement militaire M23.
Des Congolais, il y en a à Liège. Ils ont manifesté vendredi dernier et on a pu les voir promener un panneau avec la tête du président rwandais Kagamé affublée de cornes de diable.
### "Be courteous to all, but intimate with few; and let those few be well tried before you give them your confidence", George Washington. ###
La Mairie de Paris demande l'interdiction du concert « Solidarité Congo », prévu le même jour que la commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda
La Mairie de Paris demande l'interdiction du concert « Solidarité Congo », prévu le même jour que la commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda
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La Ville dit craindre des troubles à l'ordre public « compte tenu des tensions existantes entre les communautés rwandaise et congolaise à Paris ». La Préfecture de police de Paris fait savoir que le dossier est « à l'étude ».
La Mairie de Paris demande l'interdiction du concert « Solidarité Congo », prévu le même jour que la commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda
La Ville dit craindre des troubles à l'ordre public « compte tenu des tensions existantes entre les communautés rwandaise et congolaise à Paris ». La Préfecture de police de Paris fait savoir que le dossier est « à l'étude ».
Commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda, à Paris, le 7 avril 2024. THOMAS SAMSON / AFP
La Mairie de Paris a annoncé mardi 25 mars avoir saisi le préfet de police pour faire interdire, comme le demande la diaspora rwandaise, le concert « Solidarité Congo » à l'Accor Arena le 7 avril, journée internationale de commémoration du génocide des Tutsi au Rwanda.
Lundi, les organisateurs de ce concert programmé à l'Accor Arena, dont la Mairie de Paris est actionnaire principal, ont annoncé maintenir cet « événement essentiel » auquel doivent participer de grands noms du rap comme Gims, Youssoupha et Gazo.
De son côté, la Ville de Paris a saisi le préfet de police de Paris le 10 mars « afin de demander, à l'instar des associations et de l'ambassadeur du Rwanda en France, l'interdiction du concert à cette date [du 7 avril], au motif des troubles à l'ordre public qu'il engendrerait », annonce-t-elle dans un communiqué. Interrogée par l'Agence France-Presse (AFP), la Préfecture de police de Paris a déclaré que le dossier est « à l'étude ».
Des associations rwandaises se préparent à commémorer, le 7 avril, le début du génocide des Tutsi, en 1994. Elles demandent depuis plusieurs semaines le report de ce concert prévu le même jour, qui doit profiter aux enfants victimes du conflit de l'est de la République démocratique du Congo (RDC), au vu de la charge symbolique de la date retenue.
« Propos haineux »
Le conflit dans l'est de la RDC, région frontalière du Rwanda, s'est intensifié ces derniers mois avec l'offensive éclair menée par le groupe armé M23, soutenu par des troupes rwandaises. Selon l'ONU, plus de 100 000 personnes ont fui la zone ces trois derniers mois.
La Mairie de Paris craint des troubles à l'ordre public « compte tenu des tensions existantes entre les communautés rwandaise et congolaise à Paris », explique-t-elle. « Des échanges et propos haineux tenus contre les Rwandais et les Tutsi sur les réseaux sociaux en lien avec l'annonce de ce concert ont confirmé aux yeux de la Ville de Paris la nécessité d'annuler le concert s'il devait se tenir à cette date », ajoute-t-elle.
L'Unicef, l'agence onusienne de protection de l'enfance, à qui devaient être reversées les recettes, s'est désolidarisée de l'événement, jugeant « impossible » de bénéficier d'un concert caritatif organisé le jour de la commémoration du génocide, qui a fait au moins 800 000 morts, majoritairement tutsi.
La possibilité pour la Belgique d'interdire les activités de commémoration du génocide rwandais sur son territoire devrait être envisagée. Plusieurs arguments solides peuvent être avancés en faveur d'une telle interdiction. En effet, ces activités sont souvent utilisées par le gouvernement rwandais actuel pour avancer des accusations controversées envers la Belgique, accusations qui divisent plutôt qu'elles ne réconcilient.
L'importance de la réactivation de la CEPGL pour promouvoir la coopération et la prévention des conflits dans la région des Grands Lacs africains
La Communauté Économique des Pays des Grands Lacs (CEPGL) est une organisation régionale créée en 1976 par le Burundi, la République démocratique du Congo (à l'époque Zaïre) et le Rwanda. Son objectif fondamental était de renforcer la coopération économique, sociale et politique entre ces pays voisins afin de favoriser la stabilité régionale et éviter les conflits récurrents dans cette région marquée par des tensions ethniques et politiques.